Les pensées limitantes

Briser ses chaînes invisibles : des pensées limitantes au cercle vertueux

Il y a ces voix dans nos têtes. Discrètes parfois, assourdissantes souvent.
« Tu n’y arriveras pas. »
« Tu n’es pas assez… »
« Ce n’est pas pour toi. »

Ces phrases-là, on ne les entend pas toujours clairement. Elles murmurent dans le fond de nos gestes, influencent nos choix, étouffent nos élans. Ce sont des pensées limitantes — des croyances enracinées, souvent depuis l’enfance, qui nous empêchent d’avancer, de changer, de nous autoriser à rêver grand.

Les pensées limitantes : des murs que l’on croit infranchissables

Elles peuvent venir de notre éducation, de nos expériences passées, de ce que la société nous a renvoyé. Elles agissent comme des barrières invisibles. On s’y heurte sans toujours comprendre pourquoi. Elles dictent une réalité biaisée : « je ne suis pas fait.e pour ça », « je n’ai pas les capacités », « je vais échouer ».

Et peu à peu, elles deviennent des prophéties auto-réalisatrices. On agit moins, on tente moins, on reste dans ce qu’on croit être « notre place ».

Mais une pensée n’est pas un fait. C’est juste… une pensée.

Transformer le cercle vicieux en cercle vertueux

Il suffit parfois d’un déclic : une prise de conscience, une rencontre, un pas en dehors de ce qu’on croyait possible. Et là, quelque chose change.

Quand on commence à questionner une pensée limitante, on ouvre une brèche.
Quand on ose agir malgré la peur, on expérimente autre chose.
Et quand on voit que c’est possible… on commence à se faire confiance.

C’est ainsi que naît le cercle vertueux :
👉 Une action, même minuscule, entraîne un résultat positif.
👉 Ce résultat nourrit la confiance.
👉 La confiance encourage à agir de nouveau.
👉 Et chaque petite victoire fragilise l’ancienne croyance.

Ce n’est pas un chemin linéaire, ni une recette magique. Mais c’est un mouvement. Une dynamique. Un pas après l’autre vers une version de soi plus libre, plus audacieuse, plus vivante.

Et si on essayait ?

Pas de tout changer, pas de tout réussir. Juste d’observer nos pensées avec curiosité. De repérer celles qui nous freinent. Et de tester une autre voie, rien qu’une fois.

Parce que parfois, le plus grand changement commence avec une seule question :

« Et si c’était faux ? »

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